Il y a autre chose, Je vous assure, Il y a autre chose, Je vous l’assure, Même si cela, Ne vous rassure, Il y a autre chose, Derrière l’azur. N’ayez pas peur, Je vous rassure, Que votre pas, Sera moins sûr, Ils nous observent, Derrière l’azur, Ils ont...
Es-tu un passé glorieux ? Ô toi le bienheureux ! Es-tu fier de tes avoirs ? Ô toi le désespoir ? As-tu édité ton rang ? En salissant l’océan ? Es-tu assis sur un banc ? Aussi rouge que le sang ? Fais-tu grossir ta bedaine ? Au prix de la haine ? Flânes-tu...
Au bout du chemin, Tu vois, Que l’esprit face à toi, N’est pas ton reflet, Tu comprends enfin, Que ton libre destin, N’est qu’une chaîne, Qu’un conditionnement, Qu’un encadrement, Les règles te règlent, Les religions font lois, Les lois font foi, Et ta...
N’est-il pas temps, De rendre à la terre, Nos noirs cimetières, De baisser le front, De nos bataillons ? N’est-il pas temps, De sonner le glas, De nos amers débats, De nos tristes ébats, De nos sombres combats ? N’est-il pas temps, D’hurler au monde,...
De par les vents et les tempêtes, De par les vallées et les crêtes, Au-dessus des falaises des foules anxieuses, Sur la mer déchaînée des gloires furieuses, De par ce que je suis, De par ce que tu es, Seul sur le bateau ivre, En quête de sens, Celui de...
Libres penseurs, libres pensées, Pour le bonheur, pour l’amitié, Dans la ferveur de ces années, Que de combats inachevés. Anarchistes de tous bords, Révoltés et révolutionnaires, A toutes les âmes de la Terre, Tendez l’oreille à ma prière. L’histoire...
Je vous ai vus, Glisser sur le ciel étoilé, Je vous ai vus, Glisser de vos réacteurs rouge-orangés, Je vous ai vus, Le temps d’un souffle, Juste quelques secondes, Avant que vous ne disparaissiez, Le long, De la Voie Lactée. Je vous ai vus, Martyriser...
Dès votre plus jeune âge la société vous conditionne. La liberté est encerclée par les frontières de l’éducation, de l’école, du travail. On ne vous laisse rien découvrir par vous-mêmes, par vos intuitions, vos sensations que vous avez des choses sans...
La face des hommes, N’est pas l’esquisse du cœur, Mais un poing qui assomme, Comme un marteau-piqueur, Où sombrent les pleurs, De belles madones, Courbées sur l’automne, De leurs tendres heures. La face des hommes, Ne brille pas au soleil, Ni au bleu...
Combien de temps encore sera l’acceptation ? De voir ramper le sort sur les trottoirs usés ? De regarder la mort comme une fascination ? De contempler le sang du banc des accusés ? Combien de temps encore dois-je déambuler ? Sous les regards tordus de...